La femme-philosophe et l'amour |
La femme-philosophe et la colère |
«Qu’il est difficile d’aimer, qu’il est difficile…» Disait la chanson. Ces paroles sont très vraies. Il est relativement simple de «tomber en amour» car le propre de l’être humain est bien de se rassembler et de s’unir. Mais, comme il est difficile d’aimer véritablement!
- Mireille
Houle |
«Non, je ne regrette rien». Pensais-je en regardant par la fenêtre, les flocons de neige qui tombaient en cette nuit d’hiver.
- Liliana Homrich |
La femme-philosophe et la famille |
La femme-philosophe et la féminité |
En tant que mère de famille de deux jeunes enfants et dans le contexte actuel de crise (non seulement économique mais aussi crise profonde des valeurs), je considère qu’être philosophe me donne énormément plus de moyens et de force pour traverser les difficultés qui se présentent.
La philosophie m’a permise de rencontrer toujours plus profondément ma
véritable nature féminine; celle qui sait protéger, aimer, faire grandir et
transmettre les valeurs les plus fondamentales, de générations en
générations, au-delà de toutes difficultés, avec la patience, l’amour et la
volonté de toujours préserver et faire fleurir ce qu’il y a de plus précieux
dans le cœur de l’humain…
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Nous sommes à l’ère de l’hypersexualisation. Les petites
filles imitent la femme, qui elle expose son corps de la chambre à
coucher, au travail, en passant par les panneaux publicitaires sur les
autoroutes, sans oublier à la télé et puis dans les quotidiens. Le modèle le plus vu par nos enfants est cette femme qui suggère la sexualité. Bien sûr d’autres modèles existent, mais sont de loin beaucoup moins affichés. Voilà, c’est un fait, qui est banal pour la plupart. Quel est donc ce message qui bombarde mes 2 filles âgées de 10 et 7 ans, et toutes les autres? Pourquoi cet appel constant aux instincts sexuels de l’être humain dépourvu de sentiment profond et durable? Oui, oui, l’amour, le respect, etc. Malgré tout l’abus sexuel qui fait tant de victimes, nous acceptons ce modèle en tant que société. Quel non-sens. Comme d’autres non-sens que sont la malbouffe, et la violence, qui sont présents partout, notre société cultive un environnement qui mène l’individu à l’auto-destruction. J’ai trouvé des réponses et des outils dans notre patrimoine humain immense. À la recherche de vérité et de sens, dans tout ce non-sens, j’ai rencontré les grands principes de la Vie, mais surtout j’ai appris à les expérimenter. En effet, une Sagesse Une qui régit la Vie, dévoile à ceux qui ont le cœur ouvert et cherchent à comprendre, que nous avons le pouvoir de se transformer, et ainsi transformer les médiocrités de notre monde. Et ce pouvoir ce sont les vertus. Il suffit d’expérimenter pour constater. Et c’est bel et bien ce que l’histoire de l’humanité nous démontre. Ainsi, le pouvoir de la femme va bien au-delà de son corps. Nous le savions bien sûr, mais comme c’est moins apparent, cela demande une sensibilité autre pour percevoir la beauté intérieure d’une femme et la cultiver. Son réel pouvoir est celui de donner la vie, de soigner, d’éduquer, faire croître. Et cela ne vaut pas que pour un enfant, mais pour une idée, un projet ou autre grand rêve qu’elle porte. Sa beauté transparaît dans l’harmonie qu’elle sait créer et qu’elle sait préserver. D’ailleurs, elle n’hésitera pas à aller au front pour la préserver, ce qui témoigne aussi de sa beauté intérieure. Si dans ma jeunesse j’ai été tiraillée entre le besoin d’exprimer ma féminité, que je ne comprenais alors qu’à un niveau superficiel, et la peur d’être une proie aux prédateurs sexuels, la philosophe en moi a su mettre de la lumière sur cet aspect de ma vie. Et puis, j’ai reconnu mes vrais modèles de féminité autour de moi. Aujourd’hui, j’ai espoir, malgré tous les non-sens de ce monde, de changer les choses à ma mesure parce que la Sagesse de tous les temps me donne les outils, et que j’ai déjà réussi quelques exploits personnels. Je peux ainsi enseigner à mes deux jeunes filles de faire la distinction entre cette beauté « vide », porteuse de tristesse, et cette beauté gracieuse qui est reflet des idées, des intentions et des actions vertueuses. Cette dernière est porteuse de bonheur durable. |
La femme-philosophe et l'engagement |
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L’engagement consiste à s’investir dans une démarche, une cause, un projet…
Donner vie à quelque chose qui nous dépasse, qui nous inspire, qui nous transforme.
C’est cet engagement que j’ai pris envers moi-même, un jour, d’essayer de devenir meilleure, de donner sens à ma vie. La philosophie à la manière classique a été pour moi le moyen privilégié pour y arriver.
Apprendre à mieux se connaître, savoir qui nous sommes réellement pour pouvoir discerner quel est le durable et le transcendant en nous. Comprendre le pourquoi et découvrir qu’il y a toujours des solutions à nos problèmes.
Avoir la détermination et le courage de changer les choses et d’accepter ce qui ne peut l’être.
Découvrir la joie du partage et l’entraide qui sont possible surtout dans ces temps de crise dans ce monde si troublé et ayant perdu ces valeurs si précieuses.
L’engagement est un acte du cœur.
Par l’engagement, on donne sens à sa vie.
- Thérèse Martin
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Mis à jour : 17-02-2012 10:47 PM
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